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Quelles politiques publiques face aux violences du patriarcat ? - MJCF, 25 novembre 2020

le 26 novembre 2020

Quelles politiques publiques face aux violences du patriarcat ? - MJCF, 25 novembre 2020

À l'occasion de la Journée internationale pour l'éradication des violences envers les femmes, tous les 25 novembre, le MJCF proposait la conférence :

« Quelles politiques publiques face aux violences du patriarcat ? »

Avec

  • Ernestine Ronai, co-présidente de la commission violence au haut conseil de l'égalité entre les femmes et les hommes et responsable du premier observatoire départemental des violences faites aux femmes.
  • Hélène Bidard, adjointe à l'égalité femme homme et à la jeunesse à la mairie de Paris et présidente de l'association « Élu•e•s contre les violences faites aux femmes ».

Les jeunes femmes sont particulièrement touchées par les violences sexistes et sexuelles sous toutes leurs formes. La polémique lié aux « tenues républicaines » a montré qu'elles étaient victime même au sein de leur lycées. Le récent rapport "en avant toutes" a lui donné preuve que les violences conjugales s'installe dès les premières relations.

Pourtant le Grenelle des violences faites aux femmes n'a fait aucune propositions destinées aux jeunes. Le gouvernement n'a pas non plus pris l'initiative d'une grande politique de prévention et de lutte pour l'égalité, pour ne pas seulement aider les victimes mais agir avant que les violences se produisent.

Il est possible de stopper totalement les violences, de mettre fin au patriarcat, pour y arriver il faut une politique publique ambitieuse et des moyens. Nos intervenantes détaillerons les actions qui doivent être mises en place afin de mettre fin aux violences sexistes et sexuelles.

 

Flyer « Le couvre-feu : et puis quoi encore ! » - JC 60, 23 octobre 2020

le 23 octobre 2020

Flyer « Le couvre-feu : et puis quoi encore ! » - JC 60, 23 octobre 2020

 

Vœux de la JC des Pyrénées-Orientales. Intervention de Léa Tytéca

le 29 janvier 2019

Vœux de la JC des Pyrénées-Orientales. Intervention de Léa Tytéca

Notre fédération a connu un renforcement, de nouvelles têtes nous rejoignent, nous nous formons mutuellement, nous avançons ensemble. Notre activité n'a pas connu d'arrêt, même si elle a connu des périodes d'affaiblissement. Il faut souligner aussi que nous travaillons de manière toujours plus rapprochée avec le PCF 66, nous entretenons des rapports mutuels d'estime et de confiance.

Pour ce qui est de notre activité militante personnelle, nous avons beaucoup travaillé sur les questions internationales à propos de la Catalogne. Nous avons entretenus des échanges avec la EINA et les étudiants pour la République ; nous sommes allés à Barcelone à 2 reprises les rencontrés et ils ont envoyé une délégation à la fête du TC pour intervenir dans notre débat. Nous avons également fait avancer ces questions au niveau national en écrivant des articles dans notre journal Avant-garde. Nous étions présents a la Diada, une impressionnante manifestation. Des échanges se profilent avec les JC Catalans qu'on a rencontré au congrès. Assurément, lutter pour ces questions enrichit notre formation politique, nous amène au cœur du sujet, nous permet de palper des victoires internationales concrètes. Nous sommes dans notre ADN pour l'autodétermination des peuples. Voir se réaliser un peuple qui l'appelle est nécessairement d'un grand intérêt politique. Nous poursuivrons dans cette voie.

Je voudrais aussi attirer votre attention sur l'importance des moments fraternels que nous passons ensemble. Fête du TC, fête de l'humanité, sont d'une importance capitale pour nous communistes. Ils constituent des cocons d'aspirations révolutionnaires dans un monde profondément réactionnaire. Il nous faut continuer à rendre nos fêtes plus belles, à soutenir nos journaux, à faire vivre notre parole alternative et indépendante.

Le contexte des gilets jaunes et du mouvement social en général, dans lequel nous n'avons jamais cessé d'être peut devenir un puissant vecteur révolutionnaire. J'ai confiance en notre capacité à participer, sans récupérations aucunes, à ce grand mouvement. De toute façon, je suis convaincue que notre parti a toujours été un outil, notre outil, celui des exploité-e-s, et non une fin en soi. C'est notre identité, c'est pour cette raison que nous sommes en constant mouvement, et que nous nous adaptons à l'état actuel des choses ; les cadres que nous avons ne doivent pas empêcher les nécessaires changements d'arriver. Sinon, nous ne pourrions plus nous prétendre marxistes, communistes.

Ce contexte que nous connaissons aujourd'hui, l'état actuel des choses dont je parle, c'est un ras le bol général contre ceux qui prennent tout à partir de la force de ceux et celles qui n'ont rien. Il faut parvenir dans nos analyses à faire prendre conscience -comme nous avons pris conscience nous même en entrant ici- que ceux et celles qui n'ont rien ne sont pas ceux et celles qui ne sont rien, comme on a pu vouloir leur faire croire. C'est par la mobilisation, par la remise en question, par la solidarité entre nous camarades et entre nos confrères et consœurs de classe que nous parviendrons à quelque chose. Tout dépend de notre coordination, de notre cohérence.

Pour nous, JC des PO, nos perspectives militantes porteront sur plusieurs points : ne pas cesser de mobiliser les jeunes. Nous devons d'ailleurs rencontrer des lycéens demain pour les aider à organiser la lutte auprès des leurs. Continuer et développer la campagne sur la gratuité des transports, conjointement avec le PCF, puisque cette question est à la croisée de nombreux enjeux politiques : meilleure égalité, liberté de se déplacer, meilleure qualité de vie et de l'air, développement du centre ville, moins de malades et de morts à cause de la pollution, une ville plus propre et plus vivante… Notre lutte contre les violences sexistes « dedans et dehors » est aussi au cœur de notre activité, et depuis plus d'un an déjà avec le mouvement de libération de la parole autour de #Metoo et #Balancetonporc. Vous n'êtes pas sans ignorer que ce sujet cristallise de nombreuses crispations et colères pour les femmes et dans notre mouvement. Nous ne lâcherons rien, surtout sur cette lutte, comme sur toutes les autres, tant que nous n'aurons pas atteint la société d'émancipation à laquelle l'humanité aspire.

Nous avons à mener un travail sur notre renouvellement aussi, dans le 66. Parce que je pars un an en Inde. Mais je reviendrai toujours plus déterminée que jamais, forte de l'apprentissage de nos camarades indiens, qui connaissent une situation révolutionnaire très intéressante.

Je finirai de manière classique : vive le PCF, vive le MJCF, vive l'UEC !

Flyer « Contre Macron et la répression, pour l'éducation et pour notre avenir, mobilisation ! » - JC 60, 14 décembre 2018

le 13 décembre 2018

Flyer « Contre Macron et la répression, pour l'éducation et pour notre avenir, mobilisation ! » - JC 60, 14 décembre 2018

 

Tract « Le 16 novembre, toutes et tous dans la rue contre les projets de Macron » - JC Oise, 13 novembre 2017

le 15 novembre 2017

Tract « Le 16 novembre, toutes et tous dans la rue contre les projets de Macron » - JC Oise, 13 novembre 2017

 

 

2017, pas sans les jeunes ! Au travail on vaut mieux que ça !

le 23 mars 2017

2017, pas sans les jeunes ! Au travail on vaut mieux que ça !

Les jeunes communistes partagent un couscous et un moment politique fort avec leurs ainés

le 27 janvier 2017

Les jeunes communistes partagent un couscous et un moment politique fort avec leurs ainés

Sympathique et importante initiative organisée par les jeunes communistes et l’Union des Etudiants Communistes (UEC) des PO. Bien sûr comme toujours avec les communistes et surtout avec la JC, il y avait une dimension festive : apéro, beau discours offensif de David Arabia, couscous préparé par le célèbre et inusable Barboufat, bien épaulé par Guy. Mais pour les 70 participantes et participants à la soirée, l’émotion vint des témoignages d’anciens et parfois très anciens militants de la jeunesse communiste, mais aussi des communistes qui, pour avoir adhéré au PCF très jeunes ne sont jamais passés par la case JC, UJRF, UJFF, UJAF (différentes déclinaison des organisations de jeunes communistes depuis 1920). Témoignages émouvants et historiquement intéressants, des luttes humanistes, solidaires et internationalistes menées par les jeunes communistes au fil de l’histoire. Contre les guerres coloniales (Indochine, Algérie) mais aussi solidarité avec la Palestine, l’Afrique du sud, Cuba…)

Comme d’autres j’ai rappelé le rôle des jeunes et parfois très jeunes communistes, dans les brigades internationales en Espagne, la résistance en France… Rappelé aussi qu’il ne pouvait y avoir de Parti Communiste sans jeunesse communiste, de transformation sociale, ni de révolution sans jeunes communistes et qu’un militant communiste passé par la JC, sans être forcément meilleur qu’un autre était forcément différent. Enfin j’ai aussi voulu affirmé que nous avions besoin de cette jeunesse pour remplacer les directions du PCF, qu’il faudra bientôt renouveler et appelé, pourquoi pas, à la candidature pour les législatives de juin d’une jeune communiste dans la troisième circonscription des PO.

Au final, mis bout à bout, les divers témoignages se transformaient en florilège des grandes luttes qui ont marqué l’histoire du pays et des communistes depuis 1920 (Front Populaire, Résistance et Conseil National de la Résistance, Indochine, Algérie, Vietnam, 1968, contre l’escalade nucléaire, contre le CPE, pour les retraites, la Sécu…).

Nicolas Garcia.

Des jeunes communistes du Val de Marne menacés de mort par des extrémistes pro-israéliens

le 25 janvier 2017

Des jeunes communistes du Val de Marne menacés de mort par des extrémistes pro-israéliens

Article publié dans Le Parisien, 24 janvier 2017

 

« Rien ne nous fera dévier d’un centimètre sur nos engagements, nos convictions, nos solidarités avec le peuple palestinien ».

Le ton était grave ce lundi soir aux vœux du PCF du Val-de-Marne.

Le secrétaire départemental Fabien Guillaud-Bataille a révélé devant plusieurs dizaines d’élus et de militants réunis dans l’espace Robespierre à Ivry-sur-Seine, « les menaces de mort de la part de hackers et fanatiques » dont ont été victimes le parti et des membres du Mouvement Jeunes Communistes français (MJCF) du Val-de-Marne en décembre. Une plainte contre X a été déposée. Une enquête a été ouverte.

« Nous avons reçu des appels de menace au standard de la fédération, jusqu’à voir débarquer en pleine nuit une entreprise de pompes funèbres pour lever un corps dans nos locaux, corps qui n’existait pas », raconte au micro Fabien Guillaud-Bataille. Cette nuit-là à la mi-décembre, vers 1 heure du matin, un corbillard attendait Mehdi Belmecheri-Rosental, responsable national des questions internationales chez les Jeunes Communistes. Une sorte de canular appelé « swatting » dont s’était rendu célèbre le hacker franco-israélien Ulcan. En 2015, Jean-Claude Lefort, ancien député communiste du Val-de-Marne, ex-président de l’association France-Palestine Solidarité en avait été victime lui aussi. Des policiers avaient débarqué chez lui, alertés pour un soi-disant délit. Il était absent à ce moment-là.

Les premiers appels menaçants démarrent au tout début décembre. « Juste après notre action BDS, Boycott désinvestissement sanction, au Leclerc de Vitry le 3 décembre », constate Mehdi. BDS est une campagne propalestinienne, qui se réfère aux campagnes de boycott conduites contre le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, pour appeler à des pressions sur Israël, avec notamment le boycott des produits issus des colonies israéliennes. Le MJCF 94 avait filmé en direct son action. Une vidéo qui déclenche les hostilités.

Pendant deux semaines, tous les jours, le jeune homme reçoit des appels sur son portable. Une trentaine au total. « On menaçait de me tuer, de me violer, de faire du swatting chez mon père », confie la victime. Le harcèlement va durer jusqu’à Noël. « Je dormais mal, j’étais tendu », avoue le jeune communiste. Parallèlement, piratage de boîtes mail, tentative sur le compte Facebook, les attaques se multiplient. Le MJCF 94 est pris à partie par un groupe extrémiste pro israélien qui a repris la vidéo de l’action BDS. « Des membres ont été insultés sur notre Facebook, sur leurs profils, ou directement dans les commentaires sur le site de ces extrémistes », poursuit Mehdi. Ainsi, parmi l’avalanche de messages, peut-on lire encore « un bon communiste est un communiste mort ».

Depuis décembre, les jeunes communistes n’ont plus rien reçu. Mais les responsables du parti voudraient bien mettre un nom sur ces hackers. « L’enquête doit avoir lieu et les auteurs de ces menaces retrouvés et jugés », insiste Fabien Guillaud-Bataille. A sa connaissance, les investigations n’ont toujours pas abouti.

 

20161113-CP-Amiens-Les Kurdes défient Erdogan [édition Somme]

le 14 novembre 2016

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20160829-Libé-Angers-« Être un jeune communiste, c'est être contre la loi travail »

le 29 août 2016

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